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25 mars 2011 5 25 /03 /mars /2011 19:32

Aujourd'hui, après quelques jours de travail intensif, j'ai décidé de m'occuper de moi...

Dans la vie d'une femme, il y a l'âge où cela est agréable puis celui où cela devient nécessaire et doucettement arrive sans crier gare : celui où c'est impératif!

 

Malheureusement, quoique l'expérience acquise à du bon, j'en suis là...

Il faut faire quelque chose...c'est obligatoire...primordial...si je ne veux pas me retrouver

dans l'incapacité de me remuer.

 

Direction le cours de gymnastique "douce", trouvant plus raisonnable de ne pas demander d'emblée à mon corps  un rythme de sportif de haut niveau!

Mais malgré tout certaine que je vais m'y ennuyer!

 

J'arrive dans la salle...la moyenne d'âge des "élèves " me donne à réfléchir...

Vite un miroir...miroir, mon beau miroir...suis-je donc si fanée?

Je t'en prie dis moi que je suis la plus belle...pour aller ...faire de la gym.

 

Déjà mon ego en prend un coup car l'image renvoyé par l'indiscret grand mur- miroir  ne me rassure pas du tout!!! 

Enfin... allonger sur le tapis je peux faire illusion!

Et puis je n'ai pas un corps en amphore comme ma voisine de droite, plus que moulée dans son justaucorps (certainement pour dissoudre les graisses, vous savez ceux qui se vendent à télé achat!)

 Ou callipyge comme celle de gauche...

Certes, je suis un petit peu fessu, mais j'ai encore une taille bien marquée.

 Mon estomac et mon ventre ne font pas qu'un seul coussin pour chaton en mal de câlin.

 

 Notre professeur plus très jeune,  menue, délicate, se déplaçant telle une danseuse,  la pointe du pied en avant ( alors que moi, tel un déménageur, je talonne!) nous demande d'une  voix d'hôtesse de l'air (du début de l'aviation civile) de faire des petits échauffements...

Pour dérouiller notre carcasse... je suppose.

Fastoche.

  Nous triturons avec nos pieds des petites balles de tennis, pour ouvrir nos chakras, nous dit-elle de sa voix mélodieuse...

 

-Mesdames, posez vos balles, nous allons commencer les étirements...

 Une musique sortant du fin fond du Tibet...envahie la pièce

-Baisser doucement la tête, les épaules, le buste, le bassin ,essayez de toucher le sol avec vos bras et remontez  en vous  déroulant  lentement, puis faîtes des petits mouvements de tête de droite à gauche...doucement

De droite à gauche..

Zut où est ma droite?

 Naturellement je ne suis pas raccord avec les autres!

 

-Tirez sur vos bras...tirez...tirez...Grandissez vous. Hé ...la croissance...c'est terminé.

- Prenez votre bâton... à deux mains, à l'horizontal...

-bien...

-espacez vos mains de la largeur de vos épaules, montez vos bras en l'air et mettez les en arrière, le plus loin possible...

aie, mais cela fait très mal!

 Du coin de l'oeil je regarde "mes copines" elles ne semblent pas trop souffrir 

Suis-je donc si rouillée?

Je  me pensais si souple! Décidement, aujourd'hui, j'en prend un coup.

 

Après les bras, les abdos...je crois que je préfère les bras...chacun son truc!

Moins mal, et puis pour les"tablettes de chocolat", il faut rester un certain temps dans la position...et croyez-moi...c'est long... et, je ne suis pas sure de les avoir" ces tablettes"

Et les cuisses, nous laisser assise sur une chaise virtuelle, c'est de la folie...

Et si ces pauvres petites mamies tombaient!

Mais personne ne tombe...sauf moi!

 

C'est dingue

La gym douce...doux euphémisme.

 

Les exercices continuent sans même une pose, je pense que notre tanagra de prof ne se rend pas compte que ses élèves n'ont plus vingt ans, ni même cinquante!

 

Discrètement, je regarde ma montre...elle doit être arrêtée...ce n'est pas possible.

 

J'ai la sensation  que mes muscles : les droits, les croisés,

mes articulations, mes  vertèbres...enfin tous ces trucs qui s'emboîtent, se connectent pour former mon corps, sont en train de regimber.

Pourquoi n'ai-je pas pris une burette avec moi, juste quelques gouttes d'huiles me seraient essentielles!

Quant enfin la séance se termine...je n'ai pas assez de mots pour exprimer mon délabrement : je suis cassée, courbaturée, épuisée, exténuée.

Sur le chemin du vestiaire, j'essaie de me rassurer auprès de mes " copines de galères"

diantre, je ne peux être plus atteinte qu'elles...

Dans les quelques propos recueillit j'entendrai : c'est dur, ça fait mal mais c'est bien pour notre corps, normal...je pense la même chose...et soudain, venu de nul part

...celui qui vous assomme : par une petite bonne femme, certainement plus âgée que moi,

se dandinant comme un canard, qui dans un large sourire, lâchera... C'est facile, je n'ai même pas eu mal!

La punaise...de quoi me gâcher la journée.

Au revoir, mesdames, à la semaine prochaine !

Maso...moi, non...juste défraîchi

 

 

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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 18:27

 En ce mois de mars  plus que printanier,  ce matin, dès poltron minet...

Minetiza et Minoutchick, habillés de leur costume,  me semble-t-il plus noir que d'habitude, sont venus me parler de la disparition d'Hippolyte le Vieux

 

Depuis une semaine, ce matou à rayures, ce chat qualifié de vulgaire par notre précieuse Minetiza, a disparu...

 

Toute la race féline se pose des questions...

Le monde s'interroge

Ou est passé notre Hippolyte le vieux...

 

A-t-il rencontré une voiture?

A-t-il avalé du poison?

Est-il enfermé quelque part, victime de sa curiosité?

Où tout simplement, la vieillesse l'a-t-elle rattrapé?

 

Malheureusement, il sera peut être difficile de connaître la vérité, alors ,

pensons, qu'il est parti rejoindre  sa belle...Et qu'il est heureux au Paradis des chats...

 

Et conservons de notre Hippolyte

-le son plaintif de son miaulement avorté

-le ronronnement enroué dans ses moments de volupté

-l'intelligence de son regard

-et son oeil taquin lorsqu'il avait réussi à braver les interdits...

 

Salut l'artiste...peut être qu'un jour tu nous reviendras...

En attendant, tout Mimivilitch pleure!

 

 

 

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6 mars 2011 7 06 /03 /mars /2011 18:57

En ce début mars où les bourgeons pointent le bout de leur nez, où les premières jonquilles repassent leurs pétales froissées par cette longue nuit hivernale, où les hérons guettent dans l'eau blanchâtre des marais, le premier têtard, le premier alvin, histoire d'aiguiser leurs becs...

 J'ai fait un rêve aussi étrange que l'atmosphère embrumé des marais au petit jour...

"A l'heure où blanchit la campagne "dirait Victor Hugo.

 

Par je ne sais quel hasard, je me suis retrouvée chez Zaza la géante à la crinière de lin...

 

Dans un ancien relais de poste, ou peut être une hostellerie, que sais-je...A Pétaouchnokville.

 

A gauche, dans ce qui devait être l'étable pour les chevaux en transit, se trouve la machine infernale de notre Zaza l'impétueuse..

Une puissante cylindrée, au ventre rubicond et rond comme les cuisses des femmes sculptées par Botéro se repose. Accroché au guidon, un ravissant blouson, encore tout imprégné  de la chaleur de sa conductrice, se balance négligemment...

 

Zaza l'accueillante, comme toujours, m'entraîne vers son jardin  où poussent des poireaux miniatures, qu'elle arrose consciencieusement avec de l'eau distillé parfumé à la rose... pour les rendre plus fondant...ainsi que des antennes radios, afin de baliser le terrain pour les petits hommes verts qui parfois, les soir de pleine lune viennent la visiter...

Car Zaza la joueuse aime taper le carton...et que je te belote et rebelote et dix de der!!! 

Avec curiosité et ravissement, je m'installe dans ce lieu que je qualifie déjà de magique.

Alors que le soleil brille, mais qu'il doit faire 10°, je m'aperçois qu'elle a  dressé le couvert dans ce jardin extraordinaire , et même placé le parasol ...peut être pour éviter l'insolation.

 Commencent alors les sortilèges de Zazafé...érie

 Comme dans le dessin animé de Cendrillon, les choses se placent et se déplacent toutes seules:

la bâche bleue se soulève de terre comme une tornade tourbillonnante, entrainant un magnifique évier en ardoise, pour me laver les mains... me dira Zaza la Blonde

aux longs cheveux de lin.

Puis le parasol s'envole pour libérer le soleil et pour réchauffer l'atmosphère. Mais Zaza la besogneuse, au tee shirt sans manche,  allumera un grand feu dans la cheminée aussi invisible qu' imaginaire du jardin...  

 

Dans cette ancienne hostellerie...la cuisine est à l'étage, alors pour éviter de la fatigue, notre Zaza bricoleuse a installé sur une passerelle à roulettes, vous savez comme celle  permettant de pénétrer dans un avion:

un toboggan .

Ainsi depuis la fenêtre, elle se laisse glisser sur le derrière , un plat calé dans chaque main.

 L'escalier: pour le retour...

 

 Au rythme d'un Jazz endiablé le repas se déroule dans la gaieté et la bonne humeur, et volent les assiettes, et virevoltent les paquets de chips et les fromages aux noms bizarres que Zaza la prévoyante a noté sur les papiers d'emballage avant de les mettre au feu! 

 Ne faut-il pas alimenter le chauffage?

 

Repas magique, de franche rigolade, ou les bonbons "crades", nounours, crocodiles et autres,  mous à souhait viendront clôturer ce déjeuner... sur l'herbe!!!

Comme une enfant bien élevée en sortant de table je me laverai les mains, au robinet automatique bricolé par Zaza l'ingénieuse à partir d'un bock à lavement, et de son tuyau, raccourcit pour l'usage!!!

S'en suivra une sieste... à l'harmonie chromatique pour certains...sous les camélias roses de plaisir, ou de froid peut être! 

Je dois vous avouez un secret, si par le plus pur des hasards une envie pressente se dessine à l'horizon, notre Zaza la géante vous conduira vers les commodités.

Là, ne sommes nous pas dans une maison pour géants,  vous devrez sauter pour vous asseoir, et  verrez du haut de ce trône impérial, vos pieds se balancer dans le vide!!!

Au secours, Maman, je ne peux plus descendre...

 

Ainsi va la vie, à Pétaouchnokville, et si vous avez la chance de connaître, une Zaza à la blonde crinière, n'hésitez pas, profitez de son humour décalée, de son rire éclatant et des ses ingénieuses inventions...car avec un rien notre Zaza rend la vie plus belle, plus drôle, et souvent irréelle...

Merci Zaza de nous entraîner dans ton monde surnaturel...  surtout ne  change rien...  

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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 18:30

Minoutchik,  chat dans la force de l âge ,  douillettement  enveloppé dans sa noire doudoune poilue, si dodu que son  ventre caresse le sol, promène sa souveraine nonchalance en compagnie de sa soeur Dame Minetiza.

Ils vivent tous les deux à Petaouchnokville, dans la douillette isba de Zaza à la chevelure de lin...

  Ils sont heureux...Ils devisent gentiment dans leur idiome, et se félicitent d'avoir une si douce et si gentille Maman...à la crinière si longue...que le soir venu, ils s'endorment sur cette accueillante litière... 

Enfin, vous l'avez compris, pour eux la vie est belle !

 

Pas d'autre chat, pas de souris, uniquement les croquettes diffusées par le distributeur automatique...usiné par Zaza.

 

Toutefois, Zaza la Blonde, c'est comme cela que les villageois l'appelle,  se trouve bien seule dans cette maison de Petaouchnokville...Dans cette isba, faite pour elle...Car très grande, elle a, bricoleuse de naissance,  tout adapté à sa taille ! Ainsi le lavabo est perché à 1,40m du sol, idem pour l'évier, et pour tous le reste...Interdit au petit !

Cela réduit le cercle des princes charmants!!!

Aussi notre Zaza s'ennuie...

 

Le soir, après son travail, par passion...par besoin...pour estomper sa solitude, elle rejoint  tous les passionnés de radio...Et elle parle, elle parle...et  envoie sur les ondes le son mélodieux émis par les vibrations de ses cordes vocales,  l'explosion de son rire, son humour décapant, car elle est drole notre Zaza, et,  se laisse carresser  par le timbre d'une voix inconnue qui lui répond...  

La vie aurait pu continuer ainsi...

Sereine pour les matous...

Monotone et mélancolique pour leur maîtresse...

 

Mais est-ce :  le sort, les fées, les elfes, les farfadets, que sais-je, qui en décidèrent autrement...

 

Un jour, transporté par une onde plus sentimentale que les autres, une voix de miel enveloppa  notre Zaza, et de parole, en confidence, ils ne purent que se rencontrer.

 

C'est ainsi que WG92M fit sa cour à 7Z14.

 Silence radio, à nous la vie ...

 

Et de déménager, et d'installer Minoutchik et Minetiza  à Mimivilitch dans le repaire du chevalier servant de notre belle héroïne...qui...les hasards faisant bien les choses, était lui aussi géant!!!

 

Les chats libérés, commencent leur inspection...

Que ces murs de pierre sont hauts.

Qui se cache derrière,?

N'est-ce pas la queue pointue, tigrée d'un raminagrobis de gouttière, que j'aperçois sur le haut du mur,pense Minoutchik, se gardant d'en parler à sa soeur, afin de ne pas la perturber un peu plus.

Un chat commun, Pouah...où sommes nous?

Dans quel village sommes nous arrivés...Notre maîtresse ne  nous a pas habitué à un tel environnement...

 

Les jours passent, Zaza très occupée à lire la carte du tendre, et  couper le dosseret de pied du lit afin qu'il puisse recevoir deux géants, est moins attentive à ses chats...

 

Alors, doucement, ils s'aventurent...faisant leurs marques dans la tanière du prince charmant...histoire de rappeler qu'ils existent!

 

D'abord Minoutchik...il saute avec beaucoup de mal sur le haut mur, s'arrête un instant sur le chaperon afin d'examiner le terrain...Tout semble vide, nul ombre de queue tigrée, pas la moindre paire de moustaches à l'horizon, alors presque lestement, il passe chez l'ennemi, suivit du regard par sa soeur,  grimpée elle aussi sur cette clôture très particulière.

Délicatement, marchant sur du velours, afin de ne pas attirer l'attention, il avance, d'abord une marche, puis deux, puis quelques, il flaire que dis-je il hume une odeur de pâtée... Alors, son instinct de goulu jamais rassasié le propulse devant une gamelle, certes pas aussi belle que son distributeur automatique customisé par sa Zaza , mais pleine d'une sorte de gelée...hum...je ne vous dis que cela.

Et voila qu'allègrement, sans complexe aucun, il commence à manger...mais...soudain...surgit de nul part...un feulement assourdissant le rappelle à l'ordre!

 

-D'ou viens-tu, toi, noiraud félin, tu manges ma pitance...Qui te le permet?

-Je ne te connais pas...Sais-tu que tu es sur les terres D'hippolyte le Vieux et Lynxou aux yeux si bleus?

 

Et d'un coup de patte agressif chasse notre pauvre Minoutchik...

 

Celui ci tout terrifié, trouve suffisamment de puissance pour faire passer par dessus le haut mur de pierre son corps lourdaud et empâté...Les poils dirait Zaza!

 

Le jour suivant cette folle équipée, nos deux chats restent à l'abri dans la véranda de leur nouveau maître... leur Zaza  le désire...

Ils doivent s'habituer à cette environnement hostile, où toute la journée ils voient passer force matous aux pelages tellement étranges...du tigré, du roux, du blanc tacheté de beige, mais point de noir...Ils ne se savaient pas unique!

 

Le temps passant, nos pauvres chats doivent se rendre à l'évidence, leur Zaza a décidé de squatter la demeure de son prince charmant...et que je te cloue, et que je te scie, soude...tape...isole...enfin, tous les corps de métier passe dans les mains besogneuses de

 la blonde aux cheveux de lin...

 

Mimivilitch est leur nouvelle adresse!

 

Que faire, Minoutchik n'a pas envie de se claquemurer dans la tanière devenue pimpante par la  magie de Zaza...

 

Alors...un jour, de nouveau il s'enhardit, et passe la frontière ...

Arrivé devant la gamelle qu'il a vite retrouvé, il rencontre Hippolyte le Vieux, une espèce de matou tigré, du genre le plus vulgaire... mais il n'est point seul...une babou est là, remplissant sa gamelle...

Minoutchik sait y faire... et je me frotte dans les jambes de la babou, et je te lui lance des regards de chaton craintif à faire fondre un iceberg... Le tour est joué...

Il aura son écuelle, et Hippolyte devra l'accepter...

Interdit les feulements, Babou explique à Hippolyte qu'il doit être aimable avec  ce matou, même si son pelage est différant!

 

De jour en jour, ils apprendront à mieux se connaître, un jour chez l'un, un jour chez l'autre, mais Hyppo le vieux, tentera toujours d'intimider Minoutchik lorsqu'il  pensera ne pas être vu...un droit d'aînesse en quelque sorte...

 

Quant à Minitiza, elle restera toujours en haut du mur, acceptant seulement les avances d'un matou un peu moins noir qu'elle...

 

Et Lynxou aux yeux si bleus me direz-vous?

 

Dans la  hiérarchie des matous, notre Minoutchik prendra "du poils de la bête" sans mauvais jeu de mot, et sans vergogne, chassera de ses terres ce chat aux yeux si bleus, qui vraiment devait venir d'une autre planète...

 

Ainsi va la vie à Mimivilitch land...

Et comme le dirait Jean de La Fontaine: la raison du plus fort est toujours la meilleur...

 

Et pour être fort..Minoutchik s'y entend, il mange dans toutes les gamelles du quartier!

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Présentation

  • : Le blog des livres de julia
  • : ce blog: pour tous ceux ,qui comme Julia, marranne du Portugal, sont à la recherche de leur identité juive. Architecte d'intérieur et gourmande elle vous transmet des conseils en déco, et de délicieuses recettes .
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  • leslivresdejulia.over-blog.com
  • issue d'une famille de marranes,je suis très attachée à mon identité juive,et à toutes ces traditions qui ont bercées ma jeunesse. 
 je suis passionnée pour mon métier d'architecte d'intérieur et par  l'écriture  qui me permet le rêve.
  • issue d'une famille de marranes,je suis très attachée à mon identité juive,et à toutes ces traditions qui ont bercées ma jeunesse. je suis passionnée pour mon métier d'architecte d'intérieur et par l'écriture qui me permet le rêve.

l'auteur

Chantal FIGUEIRA LEVY, écrit depuis quelques années des romans autour de personnes réunies par la même recherche d'identité.

Son personnage principal est Julia FRANCES.

Dans la vie professionnelle, Chantal FIGUEIRA LEVY est architecte d'intérieur, et de ce fait , son héroine évolue dans ce milieu.

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