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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 18:15

Pour tous mes amis parisiens connus et inconnus je serai:

 

au salon du livre de Paris du 16 au 19 Mars sur le stand de "la Haute-Normandie" 

sur  l'espace "Première fois au salon..."

  salondulivreMars2012

je serai heureuse de vous rencontrez lors des dédicaces de 11h à 12h et de 15h à 17h...

et de papoter avec vous.

A bientôt, je suis impatiente de connaître de l'intérieur ce salon qui toujours m'a fait rêver!

Jamais je n'aurais imaginé me retrouver un jour de l'autre côté de la table! 

 

Chantal

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27 janvier 2012 5 27 /01 /janvier /2012 20:25

 

J’ai vu le jour, dans le Paris des années cinquante…vous savez celui des chevaux tirant la voiture du laitier ou bien du marchand de pain de glace, du vitrier, du rémouleur, des chanteurs de rue, et des enfants n’ayant pas le droit de parler à table.

 

Entre les culottes   Petit Bateaux, les robes smockées de ma tendre enfance, et l’austérité de mon adolescence studieuse, je n’ai fait que suivre les directives de ma mère et les interdits de mon immigré de père !

 

Admettez-le : dans ce programme la fantaisie ne fait pas partie du paysage…

 

Pourtant, j’avais la sensation dans ma tête de petite fille enrubannée, que la vie ne devait pas être aussi réglementée.…pourquoi je ne saurais le dire…une impression

 

Que faire pour tromper l’ennui de cette vie coincée entre devoir et règles : lire, écrire de tous petits poèmes, histoire de s’amuser avec les mots ou bien assouvir cette envie de dessiner me grattant la main.

 

Etais-je douée…j’avoue ne pas m’être posé la question…je dessinais… ainsi j’avais la paix.

 

A 14 ans, dans mon cours complémentaire (le lycée étant trop onéreux pour ma famille, à l’époque il fallait acheter les livres) je m’efforçais de bien travailler, mais sans joie… une fois de plus ma mère avait orchestré d'une main d'une main magistrale mon devenir…

 

-tu seras secrétaire ma fille !

 

Et pour compléter la panoplie de la parfaite ados modèle…

 

-bilingue(à l’époque parler anglais était encore une signe de bonnes études)

 

Ce fut la meilleure façon de me fâcher à vie avec la langue de Shakespeare !

Refusant (dans ma tête) de rester coincée entre la machine à écrire,

ses tabulateurs, et ces signes kabbalistiques relevant du vermicelle en

folie appelés sténo…

 

 

Je lâchais le chemin de vie tracé par mes parents et me lançais dans le vide…sans filet !

 

C’est ainsi que je m’inscrivis à un concours pour intégrer une école d’art plastique, naturellement en cachette de la haute autorité…

 

Pour la première fois dans ma vie d’écolière, je sèche les cours,et je vais sereinement à ce concours… malheureusement, le hasard me joua un vilain tour : la fille d’un copain de mon père était présente, et...

s’empressa en toute innocence d’aller moucharder !

 

Foudre paternel naturellement, mais devant le résultat plus qu’honorable...

Je pus intégrer cette école qui bouleversera ma vie et celle de ma mère

par la même occasion !

J’avalais les études avec boulimie et obtins mon diplôme sans difficulté.

 

J’avais trouvé ma voix, quoique la peinture, la céramique, le dessin de mode, n’étaientvraiment pas ma tasse de thé, je n’aimais que l’art graphique !

 

Ne sachant trop que faire, comme profession, mais sure de ce que je ne voulais pas, je me laissais tenter par mon boy mon boy-friend de l’époque qui commençait des études d’architecte aux Beaux Arts.

 

Architecte pourquoi pas.

 

J’étais loin de me douter que je venais de mettre le pied dans une fourmilière

 

géante de machos.

 

Je passerai sous silence les quolibets de mes condisciples lorsque pour la première fois je me présentais …dans mon atelier, nous étions 3 filles pour une bonne trentaine de garçons !

 

Et je ne parle pas des ateliers concurrents

 

Nous devions monter très vite ce superbe escalier du Quais Malaquais, si nous ne voulions nous faire coincer par les étudiants de ces ateliers, et nous faire  séquestrer pendant quelques heures, voire plus.

 

En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je fus déniaisée verbalement.

 

Je ne sais pas comment je réussis à garder la tête haute, mais je passais sans trop de dégât cette première étape dans ma vie de femme du bâtiment !

 

Ce n’était qu’un début…

Les études avancent, mai 68 vient chambouler la donne, mon école ferme.

 

Mais là encore le hasard, le destin, la chance, mis sur mon chemin d’étudiante en errance un homme (homosexuel, il est vrai!) sut me faire confiance…

 

Venant d’acheter un studio, rue Grégoire de Tours, il me demande de le restructurer…

Ne doutant de rien et surtout pas de moi je me lance dans l’aventure !

Je dors très mal, car cet appartement démoli hante mes nuits !

 

La 1èredémolition, c’est traumatisant, après on s’habitue.

Fin de mon 1erchantier…

 

Le résultat enchanta le propriétaire …une réaction boule de neige s’en suivit m’obligeant à prendre ce métier à bras le corps. Je découvris les arcanes de la rénovation et aussi le machisme des hommes du bâtiment.

 

Un milieu d’homme où les femmes n’avaient pas leur place !

Un silence à couper au couteau envahissait le chantier dès que j’y mettais mon pied.

Ils s’arrêtaient de travailler, accrochant à leur face un sourire narquois et même grivois (j’avais 22, 23 ans à l’époque !)

Très vite je compris que si je voulais me glisser parmi eux, je devais connaître  mon dossier sur le bout des doigts

 

Ils m’attendaient au tournant, j’étais la patronne mais je n’avais pas le droit à l’erreur.

 

J’appris très vite à toujours demander les choses en douceur, sans élever la voix.

J’avoue qu’au début je jouais de ma condition de femme, un sourire, un regard…

l’homme même macho à du mal à résister !

Mais j’avançais dans la connaissance de ce milieu, j’appris à les aborder.

j’étais si passionnée par ce métier, que je mis tout en œuvre pour m'immiscer

dans cette confrérie du bâtiment si particulière.

 

Maintenant ce n’est plus pareil, le bâtiment se féminise, les femmes architectes, architectes d’intérieur, designer, sont pléthores et il n’est pas rare de rencontrer des menuisières, des plombières, des carreleuses, électriciennes etc. sur les chantiers, tous ces noms qui n’avaient pas de féminin !

 

Naturellement il va s’en dire que le port de la jupe n’est pas usité !

Mais je suis toujours restée une femme, avec mes qualités et mes défauts féminins.

Je n’ai pas cherché à imiter les hommes et je dois dire que maintenant

je travaille en confiance avec des équipes qui ont appris à me voir dans leur univers.

 

Je réussi à m’imposer comme maître d’œuvre sans  en imposer, sans exiger!

J’ai travaillé avec mes armes de femme !

 

Toutefois ayant déménagée il y a 3 ans en Province, j’entrepris la rénovation de ma maison.

Au début du chantier, je m’aperçus avec horreur que les entrepreneurs

auxquels je m’adressais, répondaient…A mon mari !

 

Vieux reflex de caste pas encore disparus en province ! en 2008

La vie professionnelle passant, je ne dirais pas que la routine s’installe, mais

je suis plus aguerrie aux aléas qui inévitablement jalonnent les chantiers.

Comme je m’y attends, je les devance, et je ne me laisse jamais prendre

au dépourvu.

 

Et lorsqu’ils me posent une question un peu tordu, histoire de voir…

 

Mon cerveau a pris l’habitude de fonctionner comme une machine à sous en folie, afin de me permettre de leur donner une réponse très rapidement.

Maintenant que je vis et travaille en Province avec une équipe qui commence à

se familiariser avec ma façon de faire, j ‘ai dégagé du temps…circulation, stationnement…

 

donc les rendez-vous respectés etc..

cela me permet de me consacrer à ma 2èmepassion : l’écriture, oubliée

sur le bas côté de ma vie pendant toutes ces années parisiennes.

 

Et je dois dire que lors de la construction, pardon l’écriture de mon premier roman, j’ai éprouvé le même ressenti que pour mon premier chantier : naviguer à vue en gardant dans ma ligne de mire : l’aboutissement de l’ouvrage.

 

Une fois de plus je me suis jeté dans l’abîme, en sachant seulement que je voulais réussir… comment ?

Je l’ignorais mais j’avançais…pour découvrir finalement

Une autre sorte de ségrégation, celle oh ! Combien arbitraire du landerneau

littéraire.

 

Le roman terminé…alors…commence :

La chasse à l’éditeur…difficile sans munition, c'est-à-dire, sans recommandation, sans faire valoir, sans viatique émanant d’une personne bien en cour.

 

Et puis j’ai fait fort, j’ai mis de mon côté tous les désavantages :

 

-mon âge en ce siècle de jeunisme récurant

-une étoile de David sur la couverture

-un premier roman

 

Heureusement, j’ai trouvé un petit éditeur et qui plus est un pionnier dans le combat pour l’égalité des sexes, c'est-à-dire qu’il s’engage à défendre la règle grammaticale de proximité !

 

Pour lui : à bas, le grammairien Claude Favre de Vaugelas qui en 1647 avait décrété :

 

le genre masculin est le genre le plus noble», repris en 1767 par Nicolas Beauzée qui fit plus fort :

 

Le genre masculin est réputé plus noble que le genre féminin, à cause de la supériorité du mâle sur la femelle !

Depuis 1998 les choses ont changé…maintenant nous disons :

Que les hommes et les femmes soient belles !

 

 

Chantal

 

 

extrait d'une conférence le 30 janvier 2012 à Paris

 

thème: choisir de se réaliser!

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21 octobre 2011 5 21 /10 /octobre /2011 17:24

je ne vous abandonne pas, mais il y a des moments dans la vie, où l'écriture se met au repos, pour rebondir de plus bel, lorsque l'essentiel est terminé.

En cette période de crise, les épargnants désirent placer leurs petits  sous dans l'amélioration de leur habitat,  plutôt que dans un quelconque aléa boursier, pensant à juste titre que cela est préférable .

De l'argent que les banques n'auront pas le plaisir d'investir dans des placements à (hauts)risques!

 

Voila pourquoi depuis quelques temps, je pianote beaucoup sur l'ordi non pas pour jouer une symphonie des mots, mais plutôt un concerto en la mineur pour plans et traits!

 

Alors le soir à la veillée...

Pour étirer mon dos de babou sur le retour, je me plonge depuis quelques jours dans un petit livre, arrivé  d'un pays  dont la presse parle beaucoup...

Peut être l'aurez vous compris, mon délicieux bouquin vient tout droit de Grèce, gorgé de soleil, et des senteurs de la Maison de Liza...

Ainsi le soir alanguit sur ma chaise longue, je dialogue avec Françoise...Sagan,

Marguerite...Duras, et surtout avec L...

L, tout court.

L, qui de sa chambre de bonne à Paris, à sa maison en Grèce, nous enivre du parfums dégagé de ses recettes.

De la fricassée de poulet à la financière, une antologie, au verre de lait au miel,ou aux amandes, du sublime mille feuilles grignoté du bout des lèvres pas Françoise...La I xéri (l'étrangère en grec) vous enchante.

Vous vivez avec elle, vous mangez à sa table, mais...

Elle seule,  s'en ira avec ce beau Grec aux yeux si bleus!

Peut être le voilier reviendra t-il un jour, apportant dans sa cale un nouveau petit livre, qui enchantera mon esprit et mes papilles.

 

Pour trouver ce petit coin de soleil littéraire une seule adresse:

le blog de la maison de Liza

La cantine littéraire.

ensuite vous vous laissez guider par la cantinière.

 

Merci Liza, pour ces moments partagés!

 

 

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24 août 2011 3 24 /08 /août /2011 17:48

Je piaffe comme un lipizzan en séance de dressage.

Enfin samedi je vais recevoir les premiers exemplaires de mon roman: Gazoute ou l'étoile en balsa.

J'ai du mal à imaginer mon attitude devant le concret de la chose.

Après un an entre l'écriture et la parution, enfin mon bébé sort.

L'émotion va-t-elle me gagner ou bien saurai-je comme Julia "savoir ne pas pleurer"?

Je vous en reparlerai lundi, car je pense que cette rencontre méritera un petit rapport!

 

Si l'envie vous prend de vouloir connaître un peu mieux Julia Francès, que vous avez rencontré au fil de mon blog, vous pouvez la retrouver dans:

 

Gazoute ou l'étoile en balsa

 

en commandant directement chez l'éditeur: éditionscogitoergosum.over-blog.fr

                                         chez votre libraire: il est référencé

 

A bientôt, je pense que je vais aller patauger dans la mer, afin de calmer mes impatiences!    

 

 

Un secret, un scoop, comme vous le voulez: la suite est dans l'ordi: 9 mois de gestation il faut bien cela pour peaufiner l'ouvrage. Toutefois rassurez-vous je n'effacerai pas le soir, ce que j'ai écrit le jour, je ne suis pas Pénélope.

Mais chut cela reste entre nous.

Chantal                                    

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12 juillet 2011 2 12 /07 /juillet /2011 18:41

Après un séjour où vacances et mariage se sont rencontrés, je sors Julia de son carton à chapeaux (mariage oblige), je la repasse, je la tapotte histoire de la défroisser un peu.

Nous voici de nouveau complices comme toujours, partant bras dessus, bras dessous, à

la chasse aux bons mots, aux billets d'humeur, aux recettes de cuisine,  aux contes à dormir debout...sachant pertinemment que la grande Zaza à la crinière de lin, ne nous fera pas faux bond.

Heureuses de retrouver nos amis inconnus, pour un rendez- vous autour du verbe, à défaut d'un verre.

 

Mais avant de sonner de l'olifan, pour vous annoncez une joyeuse nouvelle, j'aimerais déverser mon fiel sur les toilettes sexistes des autoroutes français, où la gratuité n'est pas de mise!

 

Gentes Dames, si un besoin pressant vous oblige à découvrir les toilettes (féminin),ou les latrines (féminin) des aires de repos de nos CHERS autoroutes, sachez qu'il vous faudra faire preuve de beaucoup d'agilité, pour:

 

-maintenir d'une main le pantalon baissé, afin qu'il ne trempouille pas dans le marigot crapoteux entourant généralement ces lieux d'aisance "sic".

 

-avec l'autre main porter votre sac bien haut, pour le préserver des éclaboussures.

 

-et, avec les dents, retenir la paire de lunettes de soleil, bien inutile en cet endroit où le soleil et la chiche lumière ne parvienne qu'à donner une falote clarté. 

D'ailleurs, pourquoi ne pas avoir pensé à laisser ces objets dans votre voiture?

Seriez-vous blonde?

Moi, je le suis!

 

La mission étant accomplie, ne vous croyez pas sauvée.

 

Dés que vous ouvrez la porte, une chasse, au demeurant invisible, à effet d'eau digne des chutes du Niagara, arrose copieusement le sol en ratissant très large.

 

Merci pour le nettoyage en règle  de votre joli pantalon blanc.

 

Merci pour  vos compensées en corde, qui n'aiment franchement pas l'eau.

 

Merci, à Messieurs les créateurs de ces Vespasiennes (féminin) qui ont oublié que la femme n'était pas du masculin!

  

 

Après ce billet d'humeur, qui je le sais ne changera rien aux toilettes des aires de repos,

je vais vous narrer une bien bonne nouvelle:

 

Dans la série des "Livres de Julia", le premier livre  sortira du chaudron de l'imprimeur: le 26 Août.

 

 

Son titre: GAZOUTE où L'ETOILE en BALSA
 

 aux EDITIONS COGITO ERGO SUM

 

Vous pouvez dès à présent le réservez directement chez l'éditeur:

 

editionscogitoergosum.over-blog.com

 

Tous ceux, galèrant  pour parvenir à la réalisation du rêve de tout homme ou femme de plume, comprendront combien je remercie cet éditeur qui a décidé d'investir sur l'inconnue que je suis.

D'ailleurs, il est en quête de manuscrit, et je peux vous dire qu'il les lit!

 

 

A bientôt, je m'en vais remettre Julia dans sa boite, car pour une première sortie, il ne faut pas abuser.

 

Chantal

 

 

 

 

 

 

 

 

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24 mai 2011 2 24 /05 /mai /2011 18:41

Aujourd'hui je ne vais pas vous racontez les tribulations des chats de la voisine, ni autres

fariboles écrites selon l'humeur, le jour, l'envie de rire ou de pleurer...

 

Je mets Julia dans ma valise, bien calée entre une paire de cothurnes et un vieux maillot de bains ( trop petit selon les dires de quelqu'un!) et en voiture direction le grand sud...

Je vais me mettre au vert, quoique...il ne doit plus y en avoir beaucoup.

 

Par d'ordi, pas de travail, juste un petit bloc et un bon crayon papier, histoire de noter quelques impressions, un détail, un ressentit, un sujet qui en quelques mots bien pensés peut devenir cocasse...Je vais passer quelques temps à jouer avec les mots, en égoïste.

Fin juin, reposée, les neurones rechargés, la main impatiente retrouvera son cher clavier afin de vous faire partager ces moments délicieux ...vous savez l'instant où l'histoire ce forme, prend corps, où les phrases s'articulent avec facilité, où l'écriture devient automatique...et je l'espère vous faire quelquefois rire.

A bientôt.

La rentrée  de septembre risque d'être importante...Je vous en reparlerai fin juin

 

Cordiales pensées à vous tous qui prenez le temps de lire  le blog des livres de Julia.

 

Chantal

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Présentation

  • : Le blog des livres de julia
  • : ce blog: pour tous ceux ,qui comme Julia, marranne du Portugal, sont à la recherche de leur identité juive. Architecte d'intérieur et gourmande elle vous transmet des conseils en déco, et de délicieuses recettes .
  • Contact

Profil

  • leslivresdejulia.over-blog.com
  • issue d'une famille de marranes,je suis très attachée à mon identité juive,et à toutes ces traditions qui ont bercées ma jeunesse. 
 je suis passionnée pour mon métier d'architecte d'intérieur et par  l'écriture  qui me permet le rêve.
  • issue d'une famille de marranes,je suis très attachée à mon identité juive,et à toutes ces traditions qui ont bercées ma jeunesse. je suis passionnée pour mon métier d'architecte d'intérieur et par l'écriture qui me permet le rêve.

l'auteur

Chantal FIGUEIRA LEVY, écrit depuis quelques années des romans autour de personnes réunies par la même recherche d'identité.

Son personnage principal est Julia FRANCES.

Dans la vie professionnelle, Chantal FIGUEIRA LEVY est architecte d'intérieur, et de ce fait , son héroine évolue dans ce milieu.

vos commentaires

n'hésitez pas à laisser ici vos commentaires sur le livre :

http://www.leslivresdejulia.com/article-commentaires-sur-gazoute-85290023.html